Je marchais sur Wellington, pressée, comme presque toujours quand je bloque du temps pour écrire. Puis, j’ai vu une jupe étroite et rouge, une coupe de cheveux proprette, un chemisier motifs vichy à travers la vitrine de chez Mme Pickwick…
C’était Mme Gisèle. Ou plutôt, le sujet d’une peinture d’Anne-Marie Auclair. Je venais de faire LA rencontre. Vous savez, quand on est mis devant l’œuvre d’une artiste pour la première fois et qu’on sait que, bien, cette image-là, on ne pourra plus jamais se la sortir de la tête, mais surtout du cœur… Lire la suite