Planifier les repas de la semaine… Il me semble qu’on en entend beaucoup parler, hein? J’imagine que c’est parce qu’il y a un réel besoin chez les parents, à commencer par moi! J’ai toujours beaucoup de belles idées et des résolutions chaque année, mais avec Loulou qui est arrivé dans nos vies, j’ai choisi mes batailles… En sachant très bien que je voulais m’y mettre sérieusement dès que l’énergie reviendrait un peu. Alors basta l’improvisation de dernière minute génératrice de stress inutile, je me lance! En plus, avec l’organisateur familial de Minimo motivation ludique, plus d’excuses! 😉 Tous les détails dans la vidéo! Lire la suite
Étiquette : astuces
Subir ou agir? En tous cas, choisir!
Tout récemment, j’ai expérimenté la force du choix, celui de subir une situation ou d’agir pour l’adapter.
Et j’ai eu cette occasion de nouveau ce matin…
Après avoir déposé ma fille à l’école, j’ai essayé de régler toutes les petites courses pour pouvoir passer plus de temps de qualité avec elle le soir. En essayant de prendre un raccourci, je me suis butée à une rue fermée. Je me suis ensuite dirigée vers la Coop d’Alentour, ils étaient en train de déménager. Une lumière s’allume dans le tableau de bord de la voiture, me demandant d’aller mettre de l’air dans un pneu qui est soudainement mou. J’ajoute donc un autre détour. Puis en arrivant au bureau de poste, le commis me dit qu’ils n’ouvrent le comptoir postal qu’à 9 h. Il était 8 h 45. Le paquet devait partir aujourd’hui…
J’avais donc des choix devant moi : revenir chez moi pour débuter mon travail, et être frustrée ou contrariée de l’heure que je venais finalement de perdre, ou choisir d’en tirer le meilleur en revoyant mes priorités. Ce que j’ai fait! Bravo Josée! ;o)
Parfois, les choix se présentent de manière encore plus… apparente.
Récemment, mon corps a réagi en étalant sur mes jambes des cloques qui ressemblaient à de l’herbe à puce. Méga frustration de me faire réveiller à 1 h du matin par les démangeaisons et avoir l’impression de devenir folle à ne pas pouvoir me gratter… Couchée avec mes cataplasmes d’argile sur les jambes, enveloppées avec du Saran Wrap comme un jambon au frigo (pour être certaine de ne pas les gratter durant mon sommeil), j’essaie de ne pas bouger. C’est là que la force du choix, celui de guérir plus vite, intervient si bien. C’est la seule chose qui m’empêche de ne pas succomber à la tentation immense de tout arracher et de gratter!!!
Même chose quand, après un retour de 3 semaines de vacances où j’ai fait le choix de complètement décrocher pour vraiment me reposer, devant tous les courriels accumulés, les messages Facebook et Linked-In, etc. je fais le choix, chaque matin, de rester zen… après quelques minutes de panique interne!!! Parfois, le pouvoir du choix, ça demande tout un effort!
Quand je me réveille le matin avec une certaine angoisse, j’ai le choix de suivre ce mouvement ou pas. Est-ce que je subis ou j’agis? Est-ce que je peux influencer mon état? Oui! Et c’est ce que je m’engage à faire.
Même si parfois j’oublie, je recommence et me réengage. J’accueille alors l’angoisse, et je vais voir l’intention. Bien souvent, cette intention est en lien avec la beauté du désir de respecter mes engagements. Ce que je fais toujours mieux quand je ne succombe justement pas à l’angoisse!
Et vous? Quels sont vos exemples de succès dans lesquels vous avez décidé de choisir au lieu de subir?
La soupe aux bonbons
Même s’il fait encore 20 degrés dehors, les feuilles des arbres changent, tombent et commencent à former un joli tapis coloré sur nos trottoirs et dans nos jardins…
Cette saison magique est celle de la fête préférée des tout-petits, cette fête des mille et un costumes et… des bonbons!
Ça fait 15 ans que je célèbre cette fête avec mes enfants, mes amis et, maintenant, dans notre garderie-maternelle. C’est devenu un rituel attendu et espéré de tous et chaque année, la frénésie s’installe dès la première journée d’octobre. Les idées d’activités spéciales et de déguisements se succèdent et se consolident jusqu’au GRAND JOUR, jusqu’au soir de la promenade nocturne et de la fameuse tournée du quartier.
C’est bien beau de me voir tout excitée à l’idée de me costumer avec les miens, mais soyons honnête, c’est la chasse aux bonbons que mes enfants anticipent avec délice!
Commençons par parler des déguisements avant d’aborder les sucreries; on ne sait jamais quoi en faire tellement il y en a, mais bref, j’y reviendrai!
L’imaginaire et le jeu de rôle faisant partie intégrante du développement des tout-petits, l’Halloween est plus que formidable pour eux; c’est gigantesque, c’est féerique! Car, enfin, tout le monde joue!!
Toutes les maisons, les écoles, les garderies, les bureaux, les quartiers, les villages et les villes s’animent en cette journée du 31 octobre! C’est l’occasion rêvée pour nos bouts d’choux d’expérimenter À FOND ce qu’est d’être un pirate, un prince, une ballerine ou un hot-dog! On change notre voix, on partage des compliments et des blagues… Même les vampires et les squelettes sont amusés et amusants.
Toute la journée, on joue à être quelqu’un ou quelque chose d’autre et le soir venu, on déambule dans les rues afin de partager cette folie de contes de fées, de films de super-héros ou même d’horreur… Chacun y va de son commentaire, on se salut comme si on se connaissait… Ça fait tellement de bien de se sentir tous si proches les uns des autres!
Mais avec ce rassemblement géant, il y a la fameuse collecte de bonbons…
Je ne sais pas pour vous, mais moi, je suis toujours ambivalente devant cette montagne de sucre et de colorant. Je navigue quelque part entre le plaisir de voir mes enfants si joyeux devant leur butin et entre le désespoir de voir une telle quantité de sucre!
On est en 2017 et le sujet des saines habitudes de vie est au cœur de l’éducation de nos enfants, de notre société, de notre monde.
Je ne suis jamais 100% à l’aise avec le fait de DONNER du sucre à mes enfants. Sans vouloir écarter la notion de plaisir à travers les gâteries-pour-les-papilles, je trouve qu’il y a beaucoup trop d’occasions où les sucreries sont à l’honneur lors des célébrations. Fêtes d’anniversaires (plusieurs par année), Noël, Jour de l’an, Pâques, St-Valentin, visites chez grand-maman et grand-papa et j’en passe!
Pour avoir bonne conscience tout en respectant le plus possible les différents rituels festifs, je me suis dotée de quelques petits trucs. Je vous partage ici celui qui m’a permis de me réconcilier avec l’aspect bonbons d’Halloween (qui me vient de ma chère sœur).
Connaissez-vous la sorcière de l’Halloween qui fait de la soupe aux bonbons?
Depuis qu’on me l’a présenté, je vous jure, je l’adore!
Le principe? C’est une sorcière qui a besoin de bonbons d’Halloween pour faire une grosse soupe qui nourrira les amis de son monde magique pendant toute l’année. La sorcière est tellement heureuse de trouver les bonbons qu’elle laisse un cadeau en échange. Donc, de retour à la maison, les enfants font une sélection de bonbons et mettent tout le reste dans un gros bol sur le balcon. On écrit un petit mot de ce que l’enfant voudrait en échange. Le lendemain matin, l’enfant retrouve son bol vide de bonbons, mais avec un cadeau en dedans!
Ce que j’aime de cette idée:
- On a l’occasion de faire la vérification des bonbons.
- L’enfant peut choisir le nombre de bonbons qu’il conservera. Vous verrez que les enfants sont raisonnables. De plus, dans leur vie quotidienne, les enfants n’ont pas beaucoup d’occasions de choisir alors cette opportunité répond à un besoin bien réel. La première fois que j’ai fait l’exercice avec mon plus jeune, il m’a répondu 12! Nous avons alors conservé les 12 bonbons de son choix et il en a été très heureux. Au fil des années, le nombre a tendance à augmenter. Allez-y alors de vos suggestions qui semblent faire du sens pour vous comme, par exemple: « Et si tu en gardais 31 comme le nombre de jours dans le mois d’octobre? » Personnellement, je n’ai jamais été capable d’aller au-delà de ce nombre, mais vous verrez ce qui vous paraît juste et raisonnable.
- On troque tous les bonbons-de-trop (éphémères) contre un objet ou un jouet (durable). Chez moi, la sorcière apporte généralement un petit jeu de blocs légo ou un livre, car c’est ce que mon garçon lui demande.
Même si j’ai mal au cœur en voyant tous les bonbons que cueillent les enfants en ce jour d’Halloween, je sais à quel point cela représente un trésor-plus-que-précieux à leurs yeux! Je me rappelle de mon propre sentiment d’exaltation lorsque je m’installais, toute petite, pour ouvrir et classer par couleurs tous les petits rouleaux de pilules multicolores (les fameux Rocket).
Ne vous laissez surtout pas tenter par une petite blague du genre : « Je vais manger tous tes bonbons! », car vous risquez de semer une peur réelle (proportionnelle à l’excitation et au sentiment de fierté de posséder cette richesse!!) Vos cocos seront alors beaucoup plus préoccupés par la protection de leur butin que par la plaisir de célébrer cet événement… ou par la menace d’une conséquence du style : « Si tu ne fais pas ceci ou cela, je te retirerai tous tes bonbons! » Je sais que c’est parfois difficile, car nous avons parfois été exposés à ce genre de plaisanteries enfants…
Ce type de conséquences n’est tout simplement pas cohérente avec ce que l’on peut demander à un enfant. On risque alors de le voir se conformer par peur extrême plutôt que par compréhension et… bonne chance pour vous lorsque l’enfant n’aura plus son trésor! Vos interventions risqueraient de ne plus fonctionner du tout. L’enfant n’aura vraiment plus rien à perdre!
Que vous soyez un animal, un super-héros ou un monstre le 31 octobre prochain, laissez-vous envelopper par la magie et l’excentricité de la traditionnelle fête de l’Halloween et… jouez le jeu! C’est si agréable de retrouver son cœur d’enfant!
Elyse
Merci, Jérôme Ferrer!
J’étais plus qu’emballée à l’idée de passer au banc d’essai la boîte du chef de Jérôme Ferrer, Chef Exécutif du chic restaurant Européa! Alors, l’expérience fut bonne? Divine en fait!
Mais la boîte du chef, c’est quoi au juste? Il s’agit d’un concept de livraison de repas à domicile. On n’a rien à préparer, juste à réchauffer. Dix minutes au bain-marie et c’est prêt. L’option micro-ondes est encore plus rapide (deux à trois minutes par assiette). Le tout nous est livré dans une seule boîte isotherme, en début de semaine. J’étais excitee comme une puce quand on a sonné à la porte et je n’avais qu’une chose en tête : ouvrir ce véritable coffre aux trésors ! C’est que, voyez-vous, avec bébé, le temps manque pour préparer de bons petits repas… mais on n’a pas perdu notre désir de bien manger pour autant… Et, même si ma charmante maman a rempli mon congélateur (merci!), les réserves s’épuisent à la vitesse de l’éclair avec ma bande de joyeux gourmands (et gourmets!) à la maison!
10 trucs de parent pour combattre la fatigue
Oui, oui. Je suis fatiguée. C’est évident, avec un nouveau bébé! Et puis j’ai un petit coco qui se réveille souvent la nuit en plaidant la gourmandise ou le besoin de câlins. Et , vous savez quoi? C’est son droit de bébé le plus légitime, car quand, dans sa vie, pourra-t-il se permettre une telle sollicitation d’amour ? Lire la suite